Parfois, quelques détails peuvent faire toute la différence dans un décor. Suivez ces astuces pour améliorer la fonctionnalité de votre cuisine!
Bien choisir ses tabourets
Plusieurs facteurs, dont la taille du comptoir, influenceront l’achat du tabouret adéquat. Pour un comptoir-lunch de 36 po de haut, on choisira un tabouret ayant un siège de 24 à 26 po de hauteur. Pour un comptoir-bar de 40 à 42 po de haut, la hauteur du siège devra être d’environ 30 po. Dans les deux cas, il importe d’avoir un espace vertical d’au minimum 9 à 12 po entre l’assise et le comptoir, ainsi qu’un dégagement de 14 à 18 po entre les jambes et l’îlot. Pour déterminer combien de tabourets prévoir, gardez en tête qu’un espacement d’environ 24 à 30 po est requis entre chaque tabouret pour s’asseoir à son aise. Il faudra également évaluer le confort et la solidité des sièges. Les modèles avec dossier et accoudoirs procurent plus de soutien; les autres, moins encombrants, peuvent se glisser sous le comptoir, mais risquent d’induire de la fatigue. Pour une bonne stabilité, on préfèrera les sièges à quatre pattes plutôt que ceux à pied unique. Un conseil: asseyez-vous sur le tabouret afin de tester son confort et sa robustesse avant de l’acheter!
Relooker sa cuisine à prix mini!
Quelques astuces permettent de relooker la cuisine à moindres frais et efforts.
- Désencombrer l’espace en dissimulant ustensiles et petits électros dans des paniers et des boîtes adaptés.
- Fixer des étagères murales qui serviront de rangement.
- Repeindre les murs dans des couleurs qui s’agencent bien au mobilier.
- Rafraîchir certaines surfaces, comme le dosseret ou le comptoir: recouvrir le dosseret avec des carreaux autocollants, des panneaux en thermoplastique ou un revêtement à eff et métal, enduire le comptoir avec du béton prêt-à-poser…
- Changer l’ancienne robinetterie par un modèle tendance.
- Accessoiriser (nouvelles poignées d’armoires, luminaires au goût du jour…).
Miroir, ô miroir !
Un miroir dans la cuisine? Pourquoi pas! Élément de décoration, il aura aussi une fonction pratique pour l’aménagement de cette pièce. Comme il agrandit l’espace et renvoie la lumière pour éclairer les coins les plus sombres de la pièce, il pourra en effet se révéler un précieux allié de nos cuisines, qui sont toujours plus petites (surtout en milieu urbain). Un mur habillé de miroirs peut même faire oublier la dimension initiale des lieux. Créer de nouvelles perspectives, donner une autre perception de l’espace, apporter de la profondeur : tels sont ses autres atouts! Où l’installer? Au mur ou au plafond, sur le dosseret, les portes d’armoires et les rangements en hauteur, ou encore sur la structure de l’îlot. Assurez-vous simplement qu’il ne reflète pas une zone peu intéressante ou surchargée (poubelle, évier…) et évitez de le placer trop près d’une source de lumière directe.
Les petits plus du gradateur
Utiliser un gradateur offre deux importants avantages: pouvoir varier les ambiances en jouant avec l’intensité de la lumière dans la pièce et réaliser une économie d’énergie d’environ 10%, et ce, même lorsqu’on l’utilise au maximum de sa capacité (ce qui permet par ailleurs d’allonger la durée de vie de vos ampoules!). Avant de l’acheter, il faut tenir compte de la configuration du circuit électrique, qui déterminera si on a besoin d’un gradateur unipolaire (luminaire contrôlé par un seul interrupteur) ou d’un gradateur à trois voies (contrôle du luminaire fait à partir de deux interrupteurs). Ensuite, il faut penser au type d’éclairage. Pour un luminaire fonctionnant sous une tension de 120 volts (ampoule incandescente, halogène, fluocompacte ou DEL), on choisira un gradateur ordinaire. Si l’éclairage fonctionne sous une tension de 12 volts, on devra choisir un gradateur à bas voltage magnétique ou électronique, selon le type de transformateur utilisé dans le luminaire.
Wow! Que C’est généreux merci